Kyoto, une ville au charme irrésistible !
Je viens de quitter la ville d’Osaka qui m’a vraiment enthousiasmée et j’arrive à Kyoto dont le charme n’est plus à vanter. Le voyage entre Osaka et Kyoto est extrêmement rapide avec le train à grande vitesse Shinkansen. Seulement une vingtaine de minutes pour parcourir les 56,4 km qui séparent les deux villes !
C’est la 2ème étape de mon séjour au Japon. J’ai réservé un appartement sur Airbnb chez Ken. Il y a dix mois que je voyage et j’ai envie de me poser quelques jours pour vivre à un rythme slow.
Objectif atteint ! Ken est très accueillant, ma location est très bien située à proximité du quartier historique de Gion et la décoration m’a fait découvrir l’univers de Totoro…
Vous ne connaissez pas Totoro ? Moi non plus avant d’arriver dans l’appartement de ce fan inconditionnel du film My Neighbor Totoro (Mon Voisin Totoro). Totoro, l’esprit de la forêt inventé en 1988 par Hayao Miyzaki est l’un des personnages les plus emblématiques du Japon. C’est un personnage d’un film d’anime qui ressemble étrangement à un chat croisé avec une souris… La déco « Totoro » est originale, mais l’aménagement de l’appartement est traditionnel. Une natte sur le sol pour dormir, une table basse pour manger et des tapis et coussins Totoro pour s’asseoir. Couinn-couinn ma mascotte était en bonne compagnie ! Je ne vous cacherai pas que j’ai eu du mal à me relever de ma natte au raz du sol après ma première nuit…
Kyoto, l’ancienne capitale impériale, est la ville la plus visitée du Japon après Tokyo. Inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco, c’est la ville traditionnelle et culturelle par excellence qui compte1,5 millions d’habitants en temps normal, mais attire des milliers de visiteurs tous les jours.
Kyoto s’est révélée telle que je l’imaginais… Presque trop belle pour être vraie. J’ai un peu eu l’impression d’évoluer dans un catalogue touristique et j’ai regretté de ne pouvoir aller au-delà de ces clichés « carte postale » !
Je souhaitais faire une visite avec Kyoto Safaris, comme je l’avais fait à Osaka, puis plus tard à Tokyo, mais m’y suis malheureusement prise trop tard pour la réservation. Cela m’a manqué de ne pas voir d’endroits authentiques et insolites, de ne pas sortir des circuits touristiques et d’avoir des informations sur la vraie vie des habitants. J’ai quand même eu la chance de parler de la vie quotidienne à Kyoto avec Ken et une amie au cours d’un dîner dans un restaurant traditionnel, autour d’un Okonomiyaki, un plat populaire qui a une apparence entre la crêpe et l’omelette.
Alors, que faire à Kyoto ?
La ville recèle tellement de merveilles, que je n’ai évidemment pas tout vu ! D’autant que c’est vraiment une ville qui se prête particulièrement bien au slow-travel… Raison de plus pour y revenir ! Voyager au Japon représente un certain budget, mais ce qui est très agréable, c’est que de nombreux plaisirs s’offrent à vous gratuitement dans la rue et dans la nature.
Je vous propose un petit assortiment de plaisirs en matière de coutumes vestimentaires, de vie nocturne, de spiritualité, de gastronomie et de culture. Pas mal non ?
Le premier des plaisirs, l’incroyable diversité et la sublime beauté des kimonos !
Le kimono est le vêtement traditionnel japonais par excellence, comme le sari l’est pour les femmes indiennes. Il est rectiligne et tombe jusqu’aux chevilles. Ses manches sont très amples et il est maintenu par une large ceinture nouée dans le dos, appelée obi. Le prix d’un kimono peut s’élever à plusieurs milliers d’euros et son choix est très important. Le vêtement possède toute une symbolique et la façon de le porter est un art qui comporte des messages sociaux très précis. Une femme choisit son kimono selon son statut marital, son âge, la saison et ou un éventuel événement. Les kimonos d’homme sont généralement sombres, d’une seule couleur ou avec des motifs discrets. Aujourd’hui, les Japonais portent couramment des vêtements occidentaux, mais la tradition du kimono reste toujours très ancrée dans la culture.
Le port du kimono est toujours associé au port d’accessoires comme les Zori, les sandales couvertes de tissu, de cuir ou de paille tissée, les Geta, les sandales de bois portées en été avec les Yukata (kimonos d’été) et les Tabi, les chaussettes qui montent jusqu’aux chevilles et séparent le pouce des autres orteils et de sublimes sacs à main. Cette tenue traditionnelle a vraiment un charme fou !
Gion est le quartier historique de Kyoto le plus prisé des touristes qui espèrent y croiser des Geishas et des Maikos, à la nuit tombée. Le quartier se concentre autour d’un canal que bordent trois rues particulièrement animées le soir. La rue Hanami-Koji où se concentrent le plus de machiya (maisons en bois typiques). Certaines sont reconverties en restaurants ou en ochayas (maisons de thé) dans lesquelles il est quasiment impossible d’entrer sans invitation. La rue Shrirakawa qui offre une superbe balade le long du canal avec des restaurants plutôt chics qui surplombent la rivière et la rue Ponto-cho, une rue très fréquentée par les touristes en raison de ses nombreux petits restaurants plutôt bon marché et de ses nombreux bars.
Attention ! En raison du comportement irrespectueux de nombreux touristes dans le quartier pour photographier, voire importuner les geishas, le conseil des habitants y interdit les photos depuis octobre 2019. Certains n’hésitaient pas à pénétrer dans les propriétés privées, à occasionner des dégâts matériels et à perturber la quiétude des temples… La ville de Kyoto a récemment sanctionné cette interdiction par l’administration d’une amende de 10 000 yens (83 euros) à tout contrevenant.
Le quartier de Gion est le quartier où les Geisha (nommées geïko à Kyoto) et les maïko (apprenties geisha) exercent leur art dans le respect des traditions. On peut quelquefois avoir la chance de les apercevoir sortir furtivement de maisons de thé très confidentielles, sur leurs hautes socques, drapées d’un sublime kimono en soie resserré à la taille par une large ceinture (obi). Le métier de geisha, officiellement reconnu depuis la fin du XVIIIe siècle, désigne des femmes qui consacrent leur vie aux arts traditionnels japonais pour divertir des clients de marque lors de soirées de banquets ou de spectacle. Elles maîtrisent plusieurs types d’arts comme la danse traditionnelle, le chant, la littérature, la poésie, la composition florale ou la pratique d’instruments traditionnels. Elles sont également appréciées pour leur art de la conversation et leur grande culture. Elles incarnent aux yeux des japonais le comble du raffinement et sont les gardiennes des traditions japonaises.
Vous reconnaîtrez les apprenties geisha, appelées maïko à leur maquillage très marqué. Leur visage est recouvert d’une épaisse couche de poudre de riz blanche, la bouche est dessinée d’un rouge profond, les yeux et les sourcils sont noircis, les cheveux sont relevés dans des chignons très sophistiqués. Les couleurs et les motifs des kimonos varient en fonction de l’âge de la geïko ou de la maïko. La forme du obi (noeud dans le dos) également ! Le métier de geisha est souvent encore associé à tort à la prostitution dans les esprits occidentaux. Pourtant, les geisha ne vendaient et ne vendent toujours pas leurs faveurs sexuelles à leurs riches clients durant leurs rencontres. Kyoto comptait des milliers de geishas au XVIIIe siècle, mais aujourd’hui, ce sont environ 200 jeunes filles qui exercent ce métier.
L’impressionnant sanctuaire shinto Fushimi Inari
Avant de commencer la visite, quelques précisions sur les termes employés. On voit sur le plan de Kyoto l’emplacement de très nombreux sanctuaires et temples. Je ne voyais pas trop la différence et pensais que c’était une question d’importance architecturale. Mais, pas du tout !!! C’est une question d’appartenance à une religion.
Un sanctuaire est toujours shintoïste. Le shintoïsme est la religion ancestrale du Japon qui considère que la nature, les animaux, les éléments naturels et certains hommes célèbres sont divins. On les nomme « Kami » ou « divinité » en japonais. C’est une religion polythéiste car il existe des milliers de kami. L’entrée d’un sanctuaire est toujours marquée par un portique sacré (torii) souvent peint d’une couleur rouge vermillon, qui délimite l’espace sacré. Une corde en paille de riz torsadée indique aussi que l’on se trouve dans un sanctuaire.
Un temple est toujours bouddhiste. Le bouddhisme, originaire d’Inde est arrivé au Japon entre les VIe et VIIe siècle. Plus qu’une religion, c’est une philosophie de vie et un courant de pensée dans lequel on vénère Bouddha Amida. Pour les temples l’entrée se fera par une porte (mon) aux dimensions imposantes. Le signe le plus distinctif est la présence d’une statue de Bouddha.
Chaque religion possède ainsi son propre lieu de culte. Dans l’appellation du lieu, vous pouvez identifier si c’est un monument shintoïste ou bouddhiste grâce à la terminaison du nom. Le nom des sanctuaires shinto finit souvent par jinja, taisha ou jingu. Celui des temples bouddhistes s’achève en général par le mot dera et très souvent par le suffixe -ji. Les deux religions cohabitent très bien et il est courant de voir un sanctuaire shinto à l’intérieur de l’enceinte d’un temple bouddhiste.
Véritables images iconiques du Japon, les torii vermillon du sanctuaire Fushimi Inari s’alignent par milliers sur les flancs de la petite montagne Inari.
C’est le plus grand sanctuaire dédié à Inari dans tout le pays, désigné « trésor national ». Un torii est un portail considéré comme une frontière entre le monde réel et le monde spirituel. Erigé en 711, ce complexe se découvre au gré d’une randonnée d’environ deux heures sous plus de dix mille torii sur le territoire du plus grand sanctuaire shinto du Japon.
Le sanctuaire est dédié à la déesse du riz Inari et plus largement à la richesse. C’est la patronne des commerçants, raison pour laquelle la majorité des torii sont payés par des hommes d’affaires, commerçants et entreprises. Ce sont leurs noms qui sont gravés sur les montants des portiques rouges, comme des annonceurs pour de la publicité.
J’ai été déçue en apprenant cela, je croyais naïvement que ces signes avaient une signification sacrée !
Tout au long du parcours, des milliers de petits renards de pierre, les kitsune, pointent sur vous leur regard impressionnant en montrant leurs crocs. Kitsune est le messager terrestre d’Inari. C‘est lui qui détient la clé du grenier à riz en travers de la gueule. Si vous observez attentivement les renards de pierre, vous remarquerez que les renards gardent dans leurs gueules, soit une clé pour permettre aux dieux d’accéder aux greniers à grains, une gerbe de riz pour symboliser la récolte abondante ou un rouleau pour représenter la connaissance du kami… A proximité des kitsune, on peut souvent voir des omikujis accrochés. Ce sont des petites bandes de papier que l’on tire au sort dans les sanctuaires shinto et les temples bouddhistes sur lesquelles sont écrites des prédictions. Si la prédiction ne vous convient pas, vous l’accrochez pour conjurer le mauvais sort !
Un conseil… Allez-y tôt le matin ou tard le soir pour éviter que ces « tunnels » ne soient complètement embouteillés de visiteurs ! J’y étais à 9h 30 le matin et il y avait déjà beaucoup trop de monde…
Le Kiyomizu-Dera qui signifie littéralement « le temple de l’eau pure » est l’un des sanctuaires les plus célèbres du Japon, élevé au rang de patrimoine mondial de l’UNESCO depuis1994. Il est situé dans le quartier de Higashiyama sur le site de la cascade d’Otowa dans les collines boisées, à l’est de Kyoto.
On peut y aller en bus, mais j’y suis allée à pied (environ une demi-heure depuis le centre de Kyoto). Une fois arrivé au pied de la colline, il faut grimper des marches et des rues piétonnes bordées de petits commerces et bondées de monde. C’est le moment de faire le plein de souvenirs ! (enfin, plutôt au retour…) On y trouve de très jolis services à thé, du linge de maison, des baguettes, divers saké, thé vert et pâtisseries entre autres…
Une fois arrivée devant l’imposante porte principale, je découvre un complexe constitué de plusieurs temples, pagodes et même d’une cascade. C’est un parfait exemple de fusion entre un temple bouddhique et un sanctuaire shinto. Le site est très étendu et il y a du monde partout dans les multiples centres d’intérêt autour de ce temple bouddhiste bâti en 780.
La plateforme principale installée sur des pilotis domine le site à treize mètres de haut, offrant une vue panoramique magnifique en cette période où les sakuras sont en fleurs.
La visite du site s’achève par la cascade Otowa, au pied de la terrasse à pilotis. Son eau sacrée est réputée pour ses vertus thérapeutiques et la réalisation de voeux. On s’y précipite pour saisir l’eau avec de longs manches en bois terminés par une coupe. Chaque ruissellement a des vertus pour différents types de visiteurs : l’un apporte la réussite scolaire, l’autre la longévité et le dernier, le succès en amour.
Les Japonais adorent les porte-bonheurs, plaquettes de voeux et horoscopes qu’ils achètent aux prêtres dans les temples et sanctuaires. C’est un groupe de jeunes étudiant-es en communication qui faisaient une enquête auprès des touristes sur le tourisme à Kyoto qui m’ont expliqué cette tradition. Nous en avons profité pour discuter longuement ensemble.
Le marché alimentaire Nishiki et la Bretagne à Kyoto
A la question « Qu’est-ce que j’ai mangé à Kyoto ? » Je dois vous faire un aveu. Je me suis régalée de crêpes et de pâté Hénaff !
Après dix mois de riz, de nouilles, de patates douces, de lentilles et de manioc… imaginez ma réaction lorsque je suis tombée sur une crêperie Breizh Cafe à Kyoto et une épicerie fine de gastronomie du monde dans le même quartier. Une bretonne en voyage reste une bretonne !!!
Après cette dégustation de produits bretons et ce retour gustatif au pays, j’ai repris mes esprits et ai pris la direction du marché de Nishiki, une visite qui s’impose pour les amateurs de cuisine japonaise. Le marché très ancien s’étend sur une étroite artère de 400 mètres de long, parallèle à l’avenue Shijo au cœur de Kyoto. Très apprécié des voyageurs comme des locaux, le marché abrite une centaine d’échoppes de nature variée. On y trouve de nombreux étals de poissons et fruits de mer, des stands de sushis, de makis et de sashimi, des boutiques de thés, des étals de légumes, d’algues, de tofu, d’épices et de gâteaux en tout genre…
Tout au long du marché de Nishiki, vous pouvez demander à goûter les aliments ou faire des dégustations dans des petites échoppes. Vous pouvez aussi vous attabler dans l’un des restaurants du marché où l’ambiance est très conviviale et décontractée.
Au menu : brochettes Yakitori (brochettes de poulet cuites sur un grill), Okonomiyaki (sorte de crêpe ou d’omelette japonaise) ou cuisine traditionnelle plus élaborée, vos papilles vont exulter !
Le Musée International du Manga
J’avais très envie d’aller faire un tour au Musée international du Manga, le premier musée japonais consacré à cet art très ancré dans la culture japonaise.
Sur 3 étages 300 000 mangas attendent les lecteurs ! Toute l’histoire du manga est exposée dans un classement chronologique. Le Musée propose également une large collection de mangas du monde entier, classés par pays, mais assez peu en français. J’ai ainsi appris qu’il existait des mangas très thématisés : Komodo pour les enfants, Shonen pour les garçons âgés de 14 à 18 ans, Shojo pour les filles âgées de 14 à 18 ans avec des histoires sentimentales, Seinen pour les jeunes adultes, Josei pour les femmes qui aiment les histoires de la vie romancée, Shonen Ai pour les garçons avec un contenu érotique plutôt homosexuel, Shojo-Ai pour les filles avec un contenu érotique plutôt homosexuel et Hentai pour des mangas érotiques.
On a l’impression d’être dans une immense bibliothèque avec de nombreux espaces de lecture et des lecteurs assis ou allongés un peu partout. Le musée accueille des expositions temporaires, des conférences, des ateliers pour les enfants et une boutique à la sortie du musée. Le lieu est essentiellement fréquenté par les japonais qui y déambulent dans une ambiance presque « religieuse ». J’ai été un peu déçue par la petite offre de mangas français à consulter et à acheter.
Ce que je n’ai pas vu…
- Il existe plus de 1000 temples bouddhistes et 250 sanctuaires shinto à Kyoto. Cela vous donne une idée de tout ce que je n’ai pas vu…
- Le Kinkaku-ji, temple bouddhiste surnommé le Pavillon d’Or pour ces magnifiques façades recouvertes à la feuille d’or. Inscrit au Patrimoine de l’Unesco, c’est l’un des temples bouddhistes les plus visités à Kyoto.
- Le chemin de la Philosophie qui désigne une allée plantée d’arbres le long d’un petit canal au nord-est de Kyoto. Il permet de rejoindre le Ginkakuji(Pavillon d’argent), et les temples Eikan-do Zenrin-ji, Ginkaku-ji et Eikan-do Zenrin-ji. Cette balade, très fréquentée par les touristes au printemps avec la floraison de cerisiers, tire son nom du philosophe japonais zen Kitaro Nishida (1870-1945) qui aimait y méditer.
- Le château de Nijo construit en 1603 et inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco. Il a été construit pour le premier shogun de la période Edo. On y vient aussi pour son jardin, l’un des plus beau jardin japonais de Kyoto.
- Et tant d’autres lieux !!!
Informations pratiques
Comment venir d’Osaka à Kyoto ?
En prenant le train à grande vitesse Shinkansen avec un JR Pass (https://www.jrailpass.com/fr/)
Comment se déplacer à Kyoto ?
A pied, en bus, en vélo ou en métro. Investissez dans une carte prépayée PASMO pour faciliter vos déplacements en train et bus.
Comment visiter le Sanctuaire Fushimi Inari ?
Accès par le train : Nara Line depuis la gare centrale de Kyoto, arrêt Inari Station
Accès en bus : ligne Minami 5, arrêt Inari Taisha
Entrée gratuite
Ouvert toute l’année et toute la journée. Pensez a prendre une lampe frontale pour une ascension de nuit
Site internet : http://inari.jp/en/
Comment visiter le Marché de Nishiki ?
En train – Gares Hankyu Kawaramachi ou Shijo-Karasuma puis 5 minutes à pied
En bus – Arrêt Shijo-Keihan-mae (lignes #10 à 12, 16, 46, 59, 61 à 64, 201, 203, 207) ou Shijo-Kawaramashi (lignes #4, 5, 10 à 12, 16, 17, 32, 46, 59, 61 à 64, 201, 203, 205, 207) puis 5 minutes à pied
En métro – Arrêt Shijo (direct depuis la gare) puis 5 minutes à pied
Horaires : entre 9h et 17~19h – Éviter le mercredi (et le dimanche dans une moindre mesure) car une partie des magasins sont fermés
Comment visiter le Temple Kiyomizu-Dera ?
Bus : station Gojo-zaka ou Kiyomizu-michi sur les lignes 100, 202, 206 et 207
Adresse : 1-294 Kiyomizu Higashiyama-ku, Kyoto
Horaires : ouvert tous les jours de 6h à 18h – Nocturnes de 18h30 à 21h pour admirer les sakura (cerisiers en fleurs) et les momiji (érables rouges)
Prix d’entrée : 400¥
Site officiel :http://www.kiyomizudera.or.jp (en anglais)
Musée international du Manga
Métro : station Karasuma-Oike (puis 2mn à pied)
Adresse : Karasuma Oike Station, Nakagyo-ku, Kyoto.
Horaires : ouvert tous les jours de 10h à 18h (dernière entrée à 17h30) – Fermé le mercredi et pendant les congés du nouvel an
Prix d’entrée : Adultes: 800 yens – Enfants: Gratuit
Accessibilité en fauteuil roulant
Bonjour, j’ai apprécié de lire ces quelques ligne sur un pays qui m’attire beaucoup, en attendant de m’y rendre je vais continuer à parcourir vos récits 🙂 merci.
Merci de votre commentaire ! Je vais publier très prochainement un article sur la ville de Kanazawa et sur Tokyo. Bonne lecture à vous…